Regarder️ le 24 novembre 2021 au cinéma ! (France)Un Film de Emmanuelle Bercot.Genre : Drame.Sou Aprèsavoir dévoilé le premier extrait "Addiction No.1" fin 2020, suivi de "We Come To Ruins" peu de temps après, le quatuor formé autour du leader, multi-instrumentiste, auteur-compositeur et producteur Morten Veland offre aujourd'hui une nouvelle surprise et présente son troisième single, "Voyage Voyage", une reprise du hit de Cetévènement est proposé dans le cadre de la démarche coopérative "Osons les derniers jours Heureux " La projection du film "De son vivant" sera suivi d'un débat avec des membres de la cash. Si l’Erasmus est derrière toi, ce top est une petite bouffée de souvenirs à relire pour te rouler dans la nostalgie. Si tu es sur le point d’y aller, considère ce top comme une feuille de Bingo que tu pourras nous envoyer à ton retour. Si, si, ça nous fera plaisir. 1. Celle qui s'est fait niquer dans ses choix de cours. Alors que tous ses potes Erasmus se retrouvent dans la même classe, désignée exprès pour le peu d’investissement dont ils feront preuve au cours du semestre, elle atterrit on ne sait comment absolument seule dans un master 2 remplis de locaux. Elle passe ses vendredi soirs à bosser sur des dossiers dans la langue du pays, ses weekends en réunion de groupe et le reste du temps à pleurer. 2. Celui qui pense être en vacances pour 6 mois. Son semestre ressemble à un Eurotrip de longue durée. On ne le voit que rarement en cours, si ce n’est la valise à la main et sur le top départ pour partir en weekend le mercredi soir à l’autre bout du pays. Étonnamment, cet être complexe et plein de contradictions s’assagit de retour en France, où il ne quittera pour ainsi dire jamais Paris. 3. Celle qui aura vécu "l'année la plus incroyable de sa vie". Son séjour sera similaire à celui de la plupart de ses petits camarades, à la différence près qu’elle en fait DES CAISSES. Elle le documentera donc avec minutie à raison de 10 photos par jour qu’elle partagera à tous ses followers avec force hashtags du type secondfamily, et, au choix, une citation inspirante sur le voyage ou une petite légende dans la langue locale, qui généralement n’a de sens que pour elle et ses potes. 4. Celui qui ne parle que français. Et ne voit visiblement pas l’intérêt d’apprendre quoi que ce soit d’autre. Il s’est retrouvé un bon groupe de copains français ah et deux belges et vit son semestre comme une virée entre potes à l’étranger. Il ne n’aime pas ses colocs, pas ses camarades de classe, et ne connaît absolument zéro local. Il passera le plus clair de ses weekends dans les boîtes de nuit pour touristes, quand il n’en n’aura pas carrément profité pour rentrer en France retrouver ses potes d’avant. 5. Celle qui déteste les autres Erasmus. Elle vit peu ou prou comme une locale et prend l’air consterné dès qu’un des ses camarades de classe lui propose de participer à une soirées mousse ou une fête de la bière. Elle retournera dans la ville de son Erasmus quatre fois par an avant de tout plaquer pour s’y installer définitivement et poursuivre son engagement dans une asso militant pour la défense du patrimoine culturel local. 6. Celui qui pense avant toute chose à son CV. Probablement le seul camarade Erasmus de la meuf qui s’est fait niquer dans ses choix de cours, mais qui lui n’est pas là par hasard. Il vient pour bosser son anglais, la langue du pays, et valider autant de crédits que faire se peut, et se projette tous les jours dans des entretiens d’embauche imaginaires où il vantera ses capacités d’adaptation et de persévérance en terre inconnue. 7. Celle qu'on voit plus souvent en soirée qu'en cours. Et quand elle vient en cours, c’est le plus souvent vêtue d’un jogging et d’un sweat à capuche, uniquement pour finir sa nuit au fond de la classe, les bras enroulés autour de sa tasse à café. Elle reprendra miraculeusement des forces vers 22h, prête à entamer le gros de sa journée, une bouteille de whsiky sous le bras. 8. Celui qui ne vient que pour pécho. Il vivra ses débuts erasmus dans une transe totale, saoul en permanence et ayant doublé en quelques semaines le nombre total de ses conquêtes. Qu’il confine en secret dans un petit carnet, avec désormais l’objectif plus qu’honorable de cocher toutes les nationalités de l’Union Européenne et pays voisins. 9. Celle chez qui se font toutes les soirées. Au départ refaite de son choix d’appart, spacieux et exceptionnellement bien situé, elle aura, dans sa générosité, la malencontreuse idée d’y inaugurer la première soirée de l’année. Sans lui demander son avis, l’appart s’érigera en QG de la communauté Erasmus locale pour le reste du semestre. Pour le reste du semestre, son sol sera poisseux d’alcool et des inconnus finiront la nuit sur son canapé. 10. Celui qui trouve l'âme soeur. Et qui perd subitement son statut de joyeux trublion alcoolique comme tout étudiant erasmus qui se respecte pour passer les deux tiers de ses journées au lit vivre intensément sa romance avant que la distance ne les sépare. Il manque à ses amis, beaucoup moins à ses colocs, qui songent à le faire expulser à défaut de pouvoir isoler sa chambre. 11. Celle qui est déjà bilingue dans la langue du pays. Quand elle n’est pas occupée à faire la conversation à tout local croisant son chemin devant un groupe d’erasmus niveau A1 en pâmoison, elle sert d’assistante traduction à tous ses petits camarades. Elle emmène donc régulièrement Claudio chez le coiffeur, Esteban chez le médecin et se charge de toute la paperasse administrative de Gudrun et compense le mal qu’elle se donne en se foutant de leur gueule pendant qu’ils hochent la tête l’air ébahi. 12. Celui qui a le mal du pays. Très fort. Il passe ses soirées sur Skype avec sa famille, harcèle ses amis restés en France dans l’espoir de vivre un peu de leur vie par procuration, critique les gens, la bouffe et la culture du pays où il vit à l’heure actuelle dès qu’il partage un moment convivial avec d’autres erasmus qu’il met tous très mal à l’aise et pleure tous les soirs en regardant des photos de camembert coulant sur du pain doré. L’ouverture du film se fait sur Nelly, une enfant de huit ans, qui dit un dernier au revoir aux femmes de l’ehpad dans lequel était sa grand-mère, avant sa mort. Le au revoir, la façon dont il est dit, la façon dont il est pensé, se tisse comme fil rouge de la narration du nouveau film de Céline Sciamma. 72 minutes minutieusement investies, jouant, à la manière de Nelly et Marion, aux jeux de pistes, aux jeux de rôles. La narration est lisible du début à la fin, dans une simplicité qui n’a rien de simple, qui induit seulement une infinie tendresse. On suit l’histoire de cette petite maman, Marion, et de sa fille, également amie, Nelly. En reprenant des codes de science-fiction qui semblaient déjà exhaustifs, un retour dans le passé, qui s’inverse par à-coups, Sciamma nous parle de sentiments qui traversent les âges, les époques. Ceux du deuil, ceux de l’amour. Article écrit par Imène Benlachtar La question de la réception du film peut légitimement se poser, comment, suite à un succès dithyrambique comme l’a été Portrait de la jeune fille en feu, la réalisatrice arrive à s’affirmer, à peine deux ans après, dans ce à quoi elle s’attèle le mieux, narrer l’égalité. Petite Maman renverse toute une logique aristotélicienne qui chercherait à ajouter du conflit, toujours plus de conflits, pour faire avancer des trajectoires individuelles, pour faire avancer le récit. Sciamma dispose tous ses personnages, campés sur trois générations, à égalité. Les enfants ne sont pas dominés, les enfants ne sont pas instrumentalisés. Nelly, comme Marion, s’épanouissent dans le dialogue, dans le questionnement, autant de ce qui les entourent, que de ce qu’elles sont. Elles observent des adultes, vivant une autre réalité que la leur, tout en la comprenant. Elles sont maîtresses du récit. De leurs lèvres sortent des vérités générales, que l’on sait écrites par la réalisatrice, qui peuvent sembler glaçantes, qui peuvent sembler peu réalistes aussi, mais qui, remises dans la diégèse de ces 72 minutes, sont transperçantes. Le film est pensé pour les enfants. La réalisatrice s’est de nombreuses fois demandée “Qu’est-ce Miyazaki ferait ?” dans son processus d’écriture. Il y a donc ce désir de montrer une autre image d’un enfant unique, presque fantasmé, une autre liberté, une autre place à prendre dans les dynamiques familiales souvent ancrées. Le titre évoque le personnage de Marion, enfant, qui a le même âge, la même taille, la même corpulence que Nelly, sa fille dans trente ans. Elles sont identiques, car jumelles dans la vie, la vraie, mais le film ne discourt pas sur la jumélité, seulement sur le sentiment d’être face à l’autre comme on serait face à soi, sans comparaison. Le titre évoque également Nelly, mère de sa mère, adulte, la soutenant, surmontant le deuil avec un sang-froid, avec un courage touchant de vérité. Le film est pensé pour tous et toutes. L’enfant qu’on a été, l’enfant qu’on aura, peut-être. Il parle de nous au pluriel, dans un contexte presque féerique, où la cabane dans les bois se voit devenir le théâtre intime d’une rencontre à jamais bouleversante. Le pacte tissé entre le spectateur et la réalisatrice peut sembler trouble. Sciamma fait le pari de ne pas marquer esthétiquement les deux temporalités, les deux univers se mêlent sur le même ton, celui de l’automne. Nelly accepte en finalité si bien cette situation, elle n’entre aucunement en lutte avec cette narration, qu’on la suit, tendrement. La science-fiction s’évapore finalement pour devenir une parenthèse flottante de quelques jours de douceur, où l’on fait des crêpes, où l’on se réinvente au détour d’un jeu de rôle qui offre des images sublimes, celles où la binarité de genre se réinvente, également. Rien ne serait pire que d’aller voir ce film en possédant des attentes similaires à celles induites par Portrait de la jeune fille en feu. Il mérite d’être vu sans poncifs, d’être vécu sans lutte, et de se laisser porter dans cette douceur de vie, dans cette simplicité qui n’est pas simple, et qui, comme un reflet, parlera certainement de vous. Sortie en salle le 2 juin. News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Photos Blu-Ray, DVD Musique Secrets de tournage Box Office Récompenses Films similaires note moyenne 4,0 1258 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné Votre avis sur De son vivant ? 174 critiques spectateurs 5 48 critiques 4 72 critiques 3 27 critiques 2 12 critiques 1 12 critiques 0 3 critiques Trier par Critiques les plus utiles Critiques les plus récentes Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnés très déçue par ce film. La relation mère/fils est assez légèrement évoquée et peu explicite. D'autant moins que Deneuve joue mal, et son personnage n'est pas très facile à cerner de ce fait. En revanche Magimel joue plutot bien. Bref, je me suis un peu ennuyée Film traitant de la fin de vie d'un malade du cancer du pancréas. Le sujet est lourd mais il est traité avec légèreté et beaucoup d'humour. Puissant et touchant Absolument magnifique ! Le plus beau film d'Emmanuelle Bercot, porté par des acteurs merveilleux. Simplement immanquable. Pour Benoit Magimel grandiose ! Film très émouvant grâce à Magimel. Une interprétation réellement très impressionnante ! Un mélo bien maîtrisé par de bons acteurs. Des réserves quant aux personnages secondaires la collègue du cancérologue jouée par Cécile de France et le fils de Benjamin il manque des situations, des scènes pour qu'ils prennent de l'épaisseur ou bien sont-ils finalement de trop ? L'hommage au personnel des hôpitaux est touchant. Frustrant cette mode qui abandonne un banc-titres acteurs principaux, réalisateur, musique, dialogue au début. Ceci dit c'est un film poignant, bouleversant, émouvant avec des acteurs bien trempés à commencer par Benoît Magimel tandis que Catherine Deneuve commence à collectionner les rôles du troisième âge avec brio. C'est aussi un film déprimant car le réalisateur a probablement voulu que le spectateur soit en osmose avec le ressenti des personnages mzis à être trop déprimant, il provoque une certaine lassitude que vient arrêter quelques rares moments de bonne humeur. Film extrêmement touchant qui ne tombe jamais dans la sensiblerie mais avec une grande justesse humaine. De très beaux moments d'acteurs tant parmi les têtes d'affiche que par les seconds rôles. Si le sujet est triste, la mise en scène met en avant la lumière dans ce sujet difficile. Tiré du roman éponyme, ce film est magistral, tant par la prestation des acteurs qui est mémorable que par l'ambiance visuelle et sonore qui y sont instaurées. On a vraiment affaire à une bonne histoire de deux heures tout de même qui est prenante, bien rythmée. On se sent proche, au contact de cette homme durant sa fin de vie. Le spectateur s'identifie aisément au personnel soignant notamment grâce aux scènes où ils discutent entre eux et évoquent leurs sentiments et leurs choix dans le travail comme eux nous hésitons, nous pleurons malgré une fin qui, nous le savons, est inévitable. La prestation de Benoît Magimel est forte émotionnellement et très convaincante, il nous transporte dans son univers théâtrale et sa relation affectueuse avec ses élèves, presque charnelle parfois. J'ai terriblement apprécié la séquence où il demande aux élèves de se toucher, se sentir comme si c'était la dernière fois qu'ils se voyaient l'aurevoir est le leitmotiv de ce métrage, tout comme le pardon. Le personnage de Léandre le fils de Benjamin en est le symbole faut-il dire au revoir et pardonner à une personne qui n'a jamais voulu de nous ? De plus, on souligne assez rarement les films français pour leur bande-originale, celle-ci alimente vraiment la tension dramatique du film, elle sert le récit très efficacement tout en préservant le caractère intimiste de l'oeuvre. Même les musiques sont bien choisis avec une magnifique reprise de Voyage, Voyage de Desireless et Nothing Compares 2 U de Sinéad O'Connor. Enfin, la scène finale mort de Benjamin est splendide avec ce panoramique qui nous montre le moment exact de la mort apparition de la lumière , la guitare qui s'arrête tout cela fait écho au début du film, c'est le malade qui choisit quand mourir .Bref, j'ai adoré ce film qui selon moi est le meilleur long-métrage français de 2021. Ce qui est sûr c'est qu'on reverra ce film aux Césars. Je recommande vivement d'aller voir cette oeuvre. Je vais avoir du mal à parler du dernier film d'Emmanuelle Bercot, "De son vivant", soyez prévenus. Il me semble que c'est l'un des films les plus dur que j'ai vu sur le sujet de la fin de vie, tant la rigueur brutale qui fait la force du cinéma de la réalisatrice déjà sur "La tête haute" fait ressortir tout ce qu'il y a de plus humain et de plus difficile sur le thème de la mort, et la fin de la séance fut particulièrement difficile pour voyeuriste, toujours honnête sans tomber dans le mélo, "De son vivant" déploie toute sa force pour nous accompagner dans la fin de vie de Benjamin Magimel absolument sublime, en abordant la question des regrets, de nettoyer le bureau de notre vie, et en portant un respect immense à ces gens qui feront partis des dernières rencontres de notre vie ceux qui nous accompagnent dans cette épreuve difficile, jusqu'au dernier instant. Mention pour le professeur Sarda, qui peut jouer un peu faux par moment ce n'est pas son métier c'est normal mais qui apporte au film la réalité de l'accompagnement dans l'épreuve et comment le chemin vers la fin se d'en parler, difficile de voir ce que je retiendrai du film tant les nombreuses intrigues se mélangent à mon propre vécu. Il restera pour moi une direction de la photographie certes naturaliste mais offrant un travail de la lumière naturelle tout en subtilité, un casting dans l'ensemble impeccable, des images douloureuses qui me resteront en tête. Au delà de cela, je retiendrai la philosophie du film, du moins ce que j'en ai perçu, à savoir que lorsque la mort vient à nous et qu'il n'y a plus qu'un seul futur à construire, c'est l'instant où nous sommes suceptibles de nous ouvrir à tout ce qui fait le présent de notre existence les petites attentions, les gens qui sont là, les émotions d'un instant, et une certaine absurdité hasardeuse des choses, en décalage avec le plan de l'existence, qui participe à définir notre humanité. Un débordement d'émotions, mais travaillées, ciselées, analysées... la beauté de ce qui nous attend tous et le rôle magnifique et admirable des équipes soignantes et accompagnantes. Magimel et le Docteur Sara, magistraux de complicité vitale, portent ce "chemin parcouru" de bout en bout et je suis là, spectateur et acteur, impuissant mais vivant ! Un film magnifique, une mise en scène qui nous porte, des comédiens tellement justes et généreux. A voir et revoir absolument! Ce film est criant de vérité, la lutte contre la maladie incurable, un mlueu hospitalier toujours à la limite de l'épuisement, mais qui survit malgré tout, un cancérologue humain, si si, et un Benoît Magimel eblouïssant, bravo ! Je suis bien embêté, je ne sais pas quoi penser de ce film. Je crois que j'aurais carrément préféré un documentaire sur la méthode de ce médecin, le docteur Gabriel Sara qui joue son propre rôle, qui vous apprend "Comment aborder et gérer la mort d'un proche". C'est le côté un peu didactique du film. Le récit principal est dilué, à mon avis, par des scènes artificielles et des récits périphériques pas toujours passionnants, notamment les cours de comédie qui sonnent faux, comme les scènes où les soignants débriefent. On est loin du naturel des scènes de "120 battements par seconde", par exemple. La vision de l'hospitalisation est à contre-courant de tout ce qu'on peut nous dire depuis deux ans ici, médecins, infirmières et personnel soignant se retrouvent en salle de repos et chantent "Bye Bye, Love", en s'accompagnant à la guitare et en dansant. Ok...Alors évidemment, on est parfois au bord des larmes, comment ne pas l'être, vu le contexte ? Magimel et Deneuve sont très émouvants, mais j'ai trouvé que ça manquait quand même terriblement de profondeur, de relief. On a du mal à croire à certaines scènes, la jeune comédienne qui débarque dans la chambre pour répéter , l'infirmière qui tombe amoureuse de Magimel , le fils qui apparaît brusquement dans la chambre... et Bercot n'évite pas les clichés. Gênant. Et cette musique incessante, qui surligne l'émotion, que c'est pénible! Bref, au total, je n'ai pas trouvé le film à la hauteur d'Emmanuelle Bercot qui nous avait habitués à beaucoup mieux. Un petit coup de mou, sans doute. Mais la scène où le vieil homme voisin de lit de Magimel quitte son lit pour chanter, danser et jouer des maracas est vraiment très embarrassante. Il fais ressortir le meilleur et le pire des émotions de notre corps il fais pleure on s'attache au personnes Le long métrage raconte une histoire il est vraiment magnifique à aller voir sans hésiter de 18 à 100 ans Très beau film ! Benoît Magimel au sommet de son art, personnage touchant, une interprétation magistraleCatherine Deneuve toujours aussi belle et digneN'oubliez pas les mouchoirs Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse

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